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Youpi à l’école

Hachette (c)
Hachette (c)

On parle de grands livres fondateurs… Et bien, il en existe aussi des petits et pas si petits que ça, finalement. Ce livre est toujours dans ma bibliothèque et je l’ai racheté pour ma fille Théa dans une nouvelle édition. Chacun le sien, chacune ses souvenirs liés à ce livre, puisqu’il nous aura accompagné toutes les deux en tant que jeune lectrice.

Comme pour tous les enfants, le premier jour d’école primaire est un grand jour, et c’est le cas de Youpi : cartable en bandoulière, plume et encrier, calculs au tableau noir, jeux de billes dans la cour, le programme de cette première journée est dense.

Hachette (c)
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Mais Youpi est un élève sage, qui s’applique, contrairement à Pouf et Noiraud. Mme Griset est très fière de lui, si bien qu’à la fin de la journée, notre petit écolier rapporte 3 bons points.

Un univers doucement rétro, un clin d’oeil à notre enfance mais des valeurs toujours actuelles sur le plaisir d’apprendre et les bandes de copains à l’école.

 

Auteur / Illustrateur : Pierre PROBST
Edition : Hachette – Petite Fleur
Année : 1955

Note : 16/20


Dans la même collection :
Youpi au Zoo

 

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Youpi au Zoo

Hachette Jeunesse (c)
Hachette Jeunesse (c)

Dans la série Livres de mon enfance, je demande : « Youpi au Zoo ». Ahhh, j’adore ce livre et c’est tout naturellement que je l’ai racheté pour Théa.

Youpi est un adorable cocker qui a pour ami la fameuse Caroline. Aujourd’hui, Youpi est très impatient car c’est la première fois qu’il va au zoo. Mais malheureusement, les chiens ne sont pas admis à l’intérieur. Ah c’est comme ça, et bien, qu’à cela ne tienne, Youpi est bien décidé à trouver un moyen d’entrer. Et hop, son appareil photo autour du cou, le voici qui passe par dessus les grilles et tombe au beau milieu des singes… Cependant, le gardien du zoo l’a repéré et une course poursuite de cache-cache se lance entre Youpi et ce pauvre gardien qui ne sait plus où donner de la tête. Tous les animaux du zoo aident le petit chien à lui échapper. Même une maman kangourou lui propose de se glisser dans sa poche. Mais voilà que le vent se lève et emporte la casquette du gardien sur la tête du gros ours endormi… Youpi joue les courageux et essaye de récupérer le chapeau. Va-t-il réussir ?

Beaucoup d’humour dans les illustrations et un texte simple où les mots rimes discrètement.

 

Auteur / Illustrateur : Pierre PROBST
Edition : Hachette Jeunesse
Année : 1993

Note : 16/20


Dans la même collection :
Youpi à l’école
– Pouf et Noiraud campeurs
– Pouf et Noiraud bricoleurs

 

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Overdose de rose

(c) Sarbacane

Quand il me prend dans ses bras, qu’il me parle tout bas, je vois la vie en ROoooooooseuh… Ah oui ? Vraiment ? Et bien ce n’est pas le cas de tout le monde ! 

Dans la famille Machin-Chose, il y a six garçons : Arnaud, Basile, César, Dagobert, Evariste et Fernand.

Une famille Machin-Chose ? Dont les prénoms suivent un ordre alphabétique ? Tiens, tiens, ça me rappelle les aventures d’une sacrée brochette de bananes irrésistiblement narrées par le talentueux Jean-Philippe Arrou-Vignod (que si tu ne connais pas, et bien je te prie de courir tout de suite chez ton libraire pour acheter et dévorer ce livre, s’il te plait !) : les fameux Jean-Quelquechose ! (Joly clin d’oeil Mme Fanny !)

Bref. Des garçons, ça bouge, ça crie, ça se salit. Ahlalalala ! Quand soudain, voilà-t-i-pas qu’une mignonne vient juste d’éclore (toute référence avec un certain P. de R. et une histoire de rose qu’il faut aller voir déclore est absolument fétexpré). UNE FILLE !!!!!!!

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La fourmi rouge

(c) Sarbacane

Révolte, colère, rébellion, fureur, sentiment d’injustice, secrets, instabilité, hobbies bizarres, phobies hors du commun, jalousies, désarroi, critique acerbe, méchanceté gratuite, humiliations, honte, mensonges, humeur écrasante… autant de caractéristiques pour définir un chantier en pleine construction : l’adolescence.

Vania le sait bien, elle nage en plein de dedans, voire elle s’y noie presque. À quinze ans, le constat peut sembler rapide sur un aussi court chemin de vie parcouru ? Et bien non, pas pour certains échantillons du genre humain comme Vania Strudel, lancée de plein fouet contre le mur de la réalité et son crépis abrasif. Ça pique, ça mord, ça déchire, ça se débat… la vie quoi ? Une bonne dose de déceptions et de rêves avortés contenus avec difficulté dans un petit être en quête de devenir justement. Quand on pense être tombée sur la case banqueroute de la roue de la vie, on croit devoir en baver à chaque portion d’air inspiré.

Au fond, je suis surtout handicapée par une propension irrépressible à tout faire de travers.

En même temps, avec un œil mi-clos façon Colombo et « un blase de protège-slip accolé à une pâtisserie autrichienne bourrative » c’est pas gagné-gagné, vous me direz, ma bonne dame. Quitte à être nulle, autant être la présidente du Club des Minables et le revendiquer, non ? Mouaip…

Youpi. La moitié de mes chers camarades m’appelle Tampax et le reste opte pour Strud’ball.

Vous êtes bien accrochés ? Car, la Fourmi Rouge, c’est du lourd, coco, du dense, du sérieux. Un roman initiatique où l’héroïne vous embarque sur le grand huit de son adolescence : loopings de fous rires, dégringolades de hontes passagères, écrasement sous la douleur sourde d’une enfance traumatisante, coups de gueule bien hystériques et aux dommages collatéraux explosifs… Et toujours la mèche rebelle et le menton frondeur levé bien haut.

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Quel morfal, ce Gwendal !

(c) Deux Coqs d’or

Vous connaissez l’expression « une faim de loup » ou « un appétit d’oiseau », mais « morfal comme Gwendal » ? Non ? C’est normal, ça vient de sortir, et ça va rester, je vous le promets !

Gwendal est un chien très affectueux mais un peu goinfre, du genre omnivore, ou plutôt n’importequoivore !

Il est super fort pour avaler des trucs qui ne se mangent pas.

Alors au premier abord, ça peut être très pratique pour ranger les affaires qui trainent ou éviter de sortir les poubelles, mais il y a quelques effets secondaires à ce type d’ingestions compulsives. Sa petite maîtresse, bien malicieuse, en profite pour dresser une liste de ces exploits gastriques, un peu à la manière de la Complainte du progrès de Boris Vian.

Des rots de plumes et de duvets = un coussin avalé. Un ventre qui sonne à heure fixe = un réveille-matin ingéré. Des prouts aux effluves florales = un flacon de parfum absorbé…

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