L’histoire incroyable

Un 18e tome paru ! Si c’est pas une incroyable nouvelle ça !

Du bonheur en pages, absolument !

Revoici la jolie bouille taquine d’Ana Ana toujours aussi bien entourée de sa tribu de doudous complètement craquants.

Quoi, que dis-tu Goupille ? Tu te baignais dans la mer et tu as reçu une grosse vague sur la tête ? Tu as avalé tout l’océan ? Et ensuite, que s’est-il passé ? Noooon, c’est pas possible !!!!

De doudou en doudou, l’histoire se « répète » (ou presque) pour arriver jusqu’aux oreilles d’Ana Ana. Mais, hum hum, il semble que le récit initial se soit un peu (beaucoup) transformé au fur et à mesure des versions des doudous. L’effet papillon, vous connaissez ? Et bien là, c’est l’effet doudou. Toujours plus désopilant à chaque version !

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Même pas en rêve

C’est le grand jour, Pascaline ! La rentrée à l’école ! Comment ça « même pas en rêve » ? Ouhla, ça commence mal, on dirait.

Attention : gros craquage pour cette bouille trognonne et grognonne, cette petite pipistrelle de 3 ans nommée Pascaline au caractère bien trempé qui a décidé de ne pas rentrer en classe comme tout le monde. Non mais !

Oui, oui, on connait la chanson, on y apprend plein de nouvelles choses à l’école. Oui, oui, on se fait plein de nouveaux copains. Oui mais non, même pas en rêve Pascaline ira à l’école. Et puis d’abord ses doudous sont d’accord. Pas la peine d’insister. « MÊME PAS EN RÊVE » hurle-t-elle. Oups, elle a crié si fort que ses parents en sont tout ratatinés. Si petits comme des cacahuètes que Pascaline a une idée bien malicieuse : allez hop, elle les cache sous son aile et direction l’école, puisqu’ils y tiennent tant. Ah, on va bien rigoler, tiens !

Mais pas si simple de participer aux activités, de pouvoir manger tranquillement à la cantine ou de tenter de faire une petite sieste quand on a ses parents entre les pattes, enfin entre les ailes. Au fur et à mesure de la journée, les autres enfants si tristes le matin ont retrouvé leur sourire. Mais l’heure des parents arrive, que va-t-il se passer pour Pascaline ? Va-t-elle devoir rentrer toute seule chez elle et continuer à devoir emmener ses parents à l’école tous les jours ? Hmmm, j’ai bien une petite idée, moi, et vous ?

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Sous ta peau le feu

Quel titre ! Quelques mots qui se frottent et disent l’embrasement puissant.

Il est des histoires qui doivent être écrites pour crier haut et fort la puissance de l’amour.

Un virus mortel, une épidémie qui décime les populations toutes catégories et origines confondues, une urgence de vivre et de soigner. Un sujet troublant qui fait subtilement écho à notre actualité. Et pourtant nous ne sommes pas en 2021, mais à Bordeaux en 1764 où une forme de variole indomptable prend des vies chaque jour.

Deux voix, deux êtres, deux parcours, deux destinées, une rencontre, une passion incandescente, évidente.

Ange Rouvray vit avec son père médecin, sa mère est morte à ses 4 ans. Esmée de Montagua a vu sa famille s’éteindre et la menace se resserre sournoisement autour d’elle et de sa mère. Sauver des vies mais comment ? La mère d’Esmée requiert l’aide du père d’Ange pour tester une nouvelle technique de soin. Lors d’une visite au château, c’est le coup de foudre entre Ange et Esmée. Des douleurs communes, des combats parallèles qui vont subitement s’entremêler pour que cet amour vive malgré des risques terrifiants.

« Elle s’est posée sur moi. Depuis, mon corps, je veux dire tout mon corps, peau, veines, artères, cerveau, tout mon corps respire mieux. »

Habilement construit en chapitres alternés, on suit le point de vue des protagonistes, leur situation, leur rencontre, leur attraction, leurs peurs, leurs audaces. Ange et Esmée. Quels prénoms ! Comme reliés par avance dans un monde qui leur est unique, secret, intime. Esmée, l’étoile dans le ciel d’Ange. Chacun sa voix, chacun son ressenti, chacun ses doutes et ses pulsions, chacun sa fièvre qui ronge et brûle.

Car il est question d’amour pur, d’urgence à dompter la maladie et tromper la mort, de droits pris et de devoirs assumés, de choix de vies et de condition féminine, d’une furieuse envie de liberté malgré les carcans d’une société qui s’éclaire doucement mais pas encore suffisamment.
Cette histoire touchante, son rythme et ses rebondissements vont vous secouer.

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Annie au milieu

« Je crois que les bonnes histoires commencent par un amour fou. »

Je crois aussi. Et là, je peux te promettre de la folie et de l’amour plein pot.

Je te pitch un brin : Annie a une passion, les majorettes, mais l’entraineuse ne veut pas d’elle pour le défilé du printemps car elle est « différente ». Puisque c’est comme ça, la Team Desrochelles contre-attaque et s’organise en famille pour qu’Annie puisse défiler, coûte que coûte ! Annie entre ses parents, entre son frère et sa sœur, au centre et si entourée, essentielle à cet équilibre collectif.

Voici la liste des « 21 » raisons qui vont te donner envie de lire ce roman décapant, poétique, tendre, drôle, émouvant et bourré d’amour à craquer : 

💕La rencontre avec la famille Desrochelles où l’amour est plus fort que tout, surtout contre les bornés et les myopes du cœur

💕Un projet complètement déjanté à base de majorettes éblouissantes et de chorégraphie désinhibante (ou presque)

💕La voix d’Annie, cette jeune fille de 16 ans au chromosome en plus, ses pensées pétillantes, son sourire à la vie, qui, chaque jour, aimante l’affection autour d’elle

💕Un grand frère pilier, Harold, 18 ans, sensible et attachant, qui aime cuisiner et qui bouillonne au plus profond de lui de faire sortir ce qu’il ressent

💕Une petite sœur introvertie, Velma, 15 ans, plus si petite maintenant, manquant de confiance en elle mais qui cache un talent fou et la force d’un phénix

💕Une mère aimante, Solange, hyper organisée, hyper courageuse, hyper au bord de la rupture et qui sait voir les rayons de lumière à travers les craquelures de chacun, même quand elle se noie

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Virgile et Bloom

Saviez-vous que la forêt de Brocéliande abrite des mystères bien plus grands que la magie de Merlin et de la fée Morgane ?

Sous terre, si vous trouvez l’entrée bien sûr, il y pulse un monde étrange peuplé d’êtres surnaturels inquiétants qui s’ébattent joyeusement. Une destination excitante, non ? Surtout quand on est une jeune étudiante en psycho nommée Bloom un peu déjantée et qu’on entraine son prof de violoncelle sur lequel on craque dans un trip haletant, à ses risques et périls. Jusque-là rien d’étonnant, si ce n’est que ce prof, Virgile, est un vampire de près de 300 ans aux allures troublantes d’un jeune homme de 20 ans, diablement sexy mais totalement dépressif. Le hic : un vampire atteint de mélancolie a le sang qui gèle et meurt.

Ça y est, vous êtes totalement accro, je le sang… euh sens 😉 Bloom est décidée, ils vont rejoindre cette communauté de monstres pour raviver Virgile aux cils désarmants (j’avoue). Un plan foireux ? Absolument ! Un voyage initiatique électrisant ? Délicieusement ! Un récit prenant, ciselé par l’écriture sensorielle si subtile de Joanne Richoux ? Définitivement !

La naissance d’un personnage doit parfois être comme un coup de foudre pour les autrices/auteurs car c’est bien cette tension que l’on ressent en tant que lectrices/lecteurs quand on fait leur connaissance. J’avais fondu pour Arpège et ses effluves de chevrefeuille dans Désaccordée et Orageuse, l’énigmatique Virgile, nonchalant mais d’une force insoupçonnée, dégage une sensualité intimidante. Tout intrigue et attire magnétiquement chez lui. De plus, un vampire aussi séduisant et qui fleure bon la frangipane, c’est à croquer (n’est-ce pas Bloom ? 😉) Il est question de limites repoussées, de passion vibrante au ton juste, de sentiments qui déroutent et font vriller, de cœurs et de corps qui palpitent, d’une certaine urgence de vivre fort, de jeux de forces obscures qui pourraient bien risquer de troubler l’ordre du monde.

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