« La guerre. J’ai beau tenter de penser à autre chose, elle occupe mon esprit.
Troie
Troie est au centre d’une guerre qui nous dépasse, une guerre dont le Palladion est l’enjeu. (…)
Un jeu où les mortels seront les seuls à payer le prix du sang. »
Si les premières pages nous placent 20 ans avant la chute de Troie, c’est une perspective, car c’est bien plus loin en arrière que commence et se déroule ce 2e tome.
Rappelez-vous… Athéna a échoué. Sa tentative pour récupérer le Palladion et retrouver enfin Pallas s’est terminée dans un bain de sang. Troie, quant à elle, a été saccagée par Héraclès et son armée. Mais la déesse, loin d’être découragée, a tiré de précieuses leçons de cet échec.
Athéna place ses pièces patiemment, sur un échiquier qu’elle est seule à connaître. Aidé par le Titan Prométhée, elle conçoit un nouveau plan. Un plan d’une envergure glaçante qui entrera à jamais dans l’histoire des hommes et des Dieux.
Au fil des chapitres, on retrouve les voix de ces femmes, déesses ou mortelles, avançant progressivement année après année, inexorablement, vers une tension implacable : le sort de Troie.