Imaginez un peu… Il était une fois le jour du Congrès Annuel des Fins des histoires…
Ce n’est pas le meilleur des débuts d’histoire, ça ?
Je suis sûre que ça vous titille la pupille et que votre cerveau s’est déjà branché en mode : ENCORE, ENCORE !
Alors, d’accord, je vous emmène entre les lignes de ce fabuleux petit bouquin, pas si petit qu’on croit, et tout droit sorti de l’imaginaire débordant de la talentueuse et joueuse de mots, Christine Naumann-Villemin.
À ce rassemblement, des Fins de toutes sortes se retrouvent : la joyeuse Apïende tout de rose vêtue, les jumeaux Toutébien et P’titcoeur très propres sur eux, Na! – la fameuse fin où la laide devient belle car elle le valait bien -tenant par la main l’adorable « Toupiti retrouva sa môman et ils se firent un grosgros câlin ».
Mais également les Fins sérieuses de livres pour adultes, prenant des airs mystérieux en buvant des verres d’encre de Chine, entre elles, un peu pimbêches il faut bien l’avouer.
Au programme des conférences très intéressantes (et terriblement d’actualité) comme « Soyons tolérants avec les auteurs » et « Première page, amie ou ennemie ? » 😉
Mais voilà que soudain, une Fin pas comme les autres débarque dans un vacarme terrible. Une fin un peu molle, un peu affreuse, un peu gluante et… C’EST LE DRAME !