
Quelle couverture ! Magnifique travail de @mayalengoust pour ces 3 ouvrages qui parlent des envies de liberté quand on est une fille de 13 ans à la fin du 19e siècle. Après Lucie et Séraphine, c’est le destin de Louise que l’on va suivre…
« Si son patron ne la battait pas, si elle était justement payée, si on ne lui comptait pas son assiette et son lit, Louise adorerait la terre sur laquelle elle travaille. Une terre incroyablement fertile, qui peut donner huit récoltes par an ! Qui exporte ses légumes jusqu’à Londres, et même jusqu’en Russie.… Une terre qui n’est qu’à une dizaine de kilomètres de Paris, sur un petit village de maraîchers nommé Bobigny. Le jour où vient la raclée de trop, Louise s’enfuit. Direction Paris, où vivent et travaillent sa mère Clémence, et son indéfectible protectrice, Bernadette, génie de la cuisine et de la voyance réunies. Mais Louise a treize ans, et à cet âge, même si l’on rêve de liberté, encore faut-il gagner sa vie… »
Merci à l’école des loisirs pour cette découverte.

Il m’attendait depuis quelques temps dans la bibliothèque et nous nous sommes enfin rencontrés. Quelle magnifique histoire ! Celle de Wang et de son tigre Ban-ji et de sa rencontre avec Mme Aminata et son crocodile Moboutou. Des nuits autour de Belleville à contempler les étoiles en écoutant des histoires éternelles, de la Chine et de la Mauritanie…
Au début du XXe siècle dans un Paris mystérieux, les membres de la joyeuse troupe du Cabaret des Ombres, menés par l’impétueuse et courageuse Pétronille, se trouvent embarqués dans une aventure pour sauver le monde, rien que ça, aux côtés du Professeur Pipolet, d’un inventeur compulsif et un peu bonaldien (après quelques réglages, ses inventions devraient sans doute fonctionner pour améliorer le sort de l’humanité… quoique…). Mais la menace rôde sous la forme d’un être cynique et sans scrupules, Victor Stingler.



Souvenez-vous… Dans le précédent tome, « Le Monstre de la Seine », tout commençait déjà autour du Muséum d’Histoire Naturelle, lors d’une nuit d’orage… D’effrayants croco-jumeaux affamés terrorisaient dès lors les Parisiens piégés par la crue. Grâce à son génie bricoleur, son esprit de déduction et l’aide indispensable de ses amies – Abigail la fantômette, Lison sa petite voisine et Mimi la Chauve-souris -, notre Sacré-Coeur avait encore une fois échappé aux griffes de Karpof (ah non ça c’est Bob Sinclar dans Le Magnifique…). Non, soyons sérieux. Sacré-Coeur avait encore une fois sauvé la situation en déjouant les pièges d’un ignoble et machiavélique personnage, Eugène Billotin. Une fois les sauriens mis K-O, la piste mystérieuse les avait conduit au Muséum d’Histoire Naturelle…