On devrait toujours lire un peu de Jo Hoestlandt avant de se coucher… C’est bon se réchauffer le coeur.
C’est l’histoire d’une petite fille éprise de liberté, qui en classe, demande à l’autrice quelle est sa lettre préférée.
Jamais personne ne m’avait demandé cela, et pourtant, c’était une vraie question, pour un écrivain !
Est-ce le O ? Comme un cercle autour des gens qu’on aime tenir embrassés ? Ou bien un C ? Comme un bras posé sur l’épaule moins serré, qui ne l’empêche pas de partir ?
Une histoire contée par Jo Hoestlandt lors des premières assises de la littérature jeunesse et qui m’avait cueilli par sa poésie et sa justesse, au fond du cœur.
« On ne retient jamais ceux qu’on aime en les enfermant, fût-ce dans des bras aimants. »
Une deuxième nouvelle au dos : Les Nivuniconnus
Des étrangers, arrivés dans une caravane. On ne savait d’où ils venaient. Jusqu’ici, on ne leur avait guère prêté attention. Mais là, les gens commencèrent à se poser des questions.
Deux magnifiques et émouvants récits, portés par la plume sensible et unique de Jo Hoestlandt, pour parler de l’acceptation des différences, de la culture des gens du voyages et du vivre ensemble.