« Il y a des phrases toutes simples qui changent des vies ».
Il y a des livres, qui paraissent tout simples, et qui changent des vies, aussi.
Je l’espère. Profondément.
Dès la première page, le décor est planté : l’urgence de la situation comme l’intensité de l’émotion du narrateur sont palpables, physiques, vibrantes. On est tout de suite pris à la gorge, pris par la main, respiration suspendue, comme en alerte.
Une boîte de Pandore de 96 pages vient de s’ouvrir sur une vie en suspens. Celle d’un jeune garçon de 14 ans qui ne répond qu’au prénom de celle qu’il cherche, celle qui va / a changé « son » monde : Céleste.